AFRIKA COMBO
Trois musiciens, trois univers dif-férents, un projet commun de rencontre : c'est la nouvelle formation Afrika Combo.
Créée en octobre 2002 par David Komara (ex chanteur des Pat Delefunk), Franck Mercier (ex guitariste des Pat Delefunk) et Fathi Belgacem (ex musicien-compositeur du Théâtre du Centaure), ce trio se positionne dans le courant de la musique sans frontières.
Les compositions sensibles et dépourvues d'artifices mélangent les styles et les influences musicales. Inspirées des chants traditionnels africains, on y retrouve des balades, du reggae, du ska, du blues et du calypso.
La multiculturalité des musiciens se retrouve fortement dans leur musique. Leurs arrangements personnels ne suivent aucun schéma et donnent un melting pot musical impressionnant. La particularité d'Afrika Combo est sa diversité de sons : les étranges sonorités des chants en diaoula sont accompagnées d'une guitare acoustique avec des harmonies parfois proches de la kora ou du balafon. Chaque morceau a une couleur particulière, soulignée par les diverses percussions : les congas, le djembé, la sanza (petite percussion africaine) ou le tama (talking drum), les tablas d'Inde ou le steel drum des Caraïbes...
Afrika Combo est une invitation au voyage.
Contact
Nina Bühler
06.81.89.75.45
[kbuehler@gmx.de->kbuehler@gmx.de]
LES ANTI-QUARKS
(duo de particules)***
Dans l'infiniment petit, encore plus petit que les atomes, il y a les quarks, petites particules quantiques qui ont la particularité d'être colorées.
Sachez que vous ne verrez jamais un quark seul, il a besoin de s'assembler avec au moins un de ses acolytes pour trouver un état de stabilité et ainsi faire exister la matière. De plus, ce deuxième quark doit être d'une couleur différente, voire son opposé : un anti-quark!
Quand on pense à la richesse de notre monde qui n'est pourtant fait que de deux types de quarks, alors qu'il en existe six...
Création à écouter-danser et issue du brassage urbain des populations, les Anti-Quarks proposent une musique à bourdon qui navigue le long du pourtour méditerranéen. Ces deux praticiens de musiques actuelles (électriques et traditionnelles) jouent ici avec les ritournelles, le rythme, ses mouvements et ses ruptures. Les voix sont des chanterelles qui se mélangent au sein d'une mélodie ou d'une improvisation, lorsque soudain... un troisième quark débarque dans la salle!! La marge de manoeuvre s'agrandit et l'on crée un nouveau spectacle, un nouveau chapitre. À bientôt.
Sébastien Tron : vielle à roue, voix
Richard Monsegu : tambours, voix
***option à 3 quarks : Julien Lachal (sax ténor)
Contact
Sébastien Tron
06 63 87 00 33
[sebtron@hotmail.com ->sebtron@hotmail.com]
BOIS SEC !
Interviouveur : Alors, Bois Sec ! Comment définir votre musique ? Du bal, du folk, du bal folk ?
Bois Sec ! : Exac'.
I. : Peut-on dire que vous explorez le répertoire de toutes les régions de France, interprétant avec le même enthousiasme un rondeau gascon ou une maraîchine vendéenne en passant par des bourrées ou même des danses plus récentes, comme cercles, chapeloises, voire paso ?
BS ! : On peut.
I. : ...Et aussi toutes les autres danses que je n'ai pas citées ?
BS ! : Aussi.
I. : Sortez-vous parfois des limites hexagonales ?
BS ! : ???
I. : Jouez-vous des trucs pas français ?
BS ! : un peu.
I. : ... Et vous accordez une grande attention au plaisir des danseurs, travaillant particulièrement la couleur instrumentale et le tempo, non ?
BS ! : Si.
I. : Entrelacez-vous les pratiques instrumentales et vocales, vous frottez-vous à la pureté des voix nues ?
BS ! : Euh...
I. : Je veux dire, vous chantez souvent pour faire danser ?
BS ! : Ah ! Ben oui.
I. : Vous privilégiez les airs traditionnels ou réputés tels, mais jouez-vous des compositions persos ?
BS ! : Y en a.
I. : Eh bien, merci BOIS SEC ! pour votre volubilité communicative ! À bientôt pour votre prochain...
BS ! : prochain quoi ?
I. : N'intervenez-vous pas pour des animations et surtout des bals folks ?
BS ! : Si...
I. : Donc, à bientôt pour votre prochain... prochain... ?
BS ! : :...bal ?
Christine Raffin : chant, bodhrán
Hervé Faye : accordéons diatoniques, chant
Patrick Queuche : guitare, chant
Marc Séchaud : violon, percussions, chant
Patrick Raffin : cornemuses, flûtes, clarinette, chant
Contact
[bois.sec@wanadoo.fr->bois.sec@wanadoo.fr]
04.26.01.45.45 - 06.63.31.98.36. - 04.26.65.68.34
site : [http://perso.wanadoo.fr/bois.sec->http://perso.wanadoo.fr/bois.sec]
LE BUS ROUGE
Jean-Luc H. : Une première question me vient à l'esprit, le Bus Rouge est-il un orchestre de variété ou une fanfare traditionnelle ?
En Attendant le Bus Rouge : Oui c'est vrai, la question ne se pose pas.
JLH : Quel public touchez-vous avec votre musique ?
EABR : Nous empruntons des thèmes traditionnels et nous essayons de les jouer le mieux possible. Mais nous ne sommes pas très spécialisés dans cette musique. Dans un morceau, nous répétons plusieurs fois la mélodie, et lorsque nous en sommes las et que quelqu'un de la troupe commence à faire autre chose, on l'écoute...
JLH : Vous adonnez-vous à la pratique du collectage ?
EABR : Ce serait rigolo de relancer l'usage des fanfares dans les joutes aquatiques. Avec un musicien debout, face au vent, en tête de navire. Les navires se choquent. Le musicien tangue et excite ses jouteurs avec son hautbois ou son fifre. Comme au bon vieux temps. Mais nous sommes nombreux à craindre l'eau froide. Et puis, un instrument, c'est fragile.
JLH : Que signifie le nom de votre formation ?
EABR : Nous sommes une douzaine de musiciens. Des saxophones, des percussions, des grailhs, clarinettes, hautbois, flûtes, accordéon... On aimerait bien faire une tournée au Népal, mais il faut trouver un véhicule correct. En attendant, les fromages et les saucissons nous ravissent, et nous nous adonnons avec plaisir à l'animation des fêtes rurales et orgiaques du Massif Central, de l'Auvergne. Depuis peu, nous sommes installés à Lyon et essayons de nous faire connaître. Connaissez-vous un bon fromager ?
JLH : Estimez-vous devoir jouer un rôle dans la promotion des musiques traditionnelles ? Pourquoi monter une fanfare ambulante avec un instrument ancien, le hautbois du Languedoc ?
EABR : Le Bus Rouge se produit dans les clairières, les vallons, les gares... Nous sommes avant tout une formation dédiée à la rue, même si la salle ne nous fait pas peur.
Je vous laisse, parce que j'ai ma vache qui m'appelle. Oui, nous avons construit une vache en bois et en métal, de 7 mètres de long et de 4,20 m de haut. Les enfants sont étonnés. Et puis l'avantage c'est d'être vus de très loin, lorsque nous déambulons, car nous ne sommes pas tous très grands dans cette formation.
Xavier Blanchot: Clarinette
Louis Cahu: Hautbois du Languedoc
Gérald Chevillon: Saxophone
Marion Chomier: Accordéon chromatique
Yvan Dendievel: Clarinette
Jorge Diaz: Derbouka
Léa Maquart: Flûte traversière
Damien Sabatier: Clochette
David Suissa: Percussions
Sylvain Truchet: Percussions
Fanny Vialle: Saxophone
Lorette Zitouni: Trombone à coulisse
Contact
[busrouge@wanadoo.fr->busrouge@wanadoo.fr]
Tel : 04 78 38 30 72
MAZALDA
Orchestre à dansoir
I . Ce qu'on avait entendu
On avait entendu sur des gramophones à manivelle d'anciens disques de Gus Viseur, d'Amalia Rodrigues et de Carlos Gardel. Nos grand-mères italiennes avaient chanté pour nous des valses tristes et des tarentelles. Nos grand-mères françaises avaient accroché des posters de Tony Murena et de Tsitsanis dans la cuisine (car nos grand-pères étaient allés en Grèce pendant la guerre). On avait entendu des paso dobles et des cha-chas zydécos à la féria d'Arles ; les chansons brésiliennes, je ne sais plus où on les a trouvées.
II. Ce qu'on fit après ça
Alors on travailla pour avoir un orchestre qui pourrait faire danser les gens. À partir de là, des gens prirent l'habitude de danser devant nous (comme à Arles, Auch, Beaucaire, Réus ou d'autres coins), dehors ou dans des salles, dans des guinguettes ou des discothèques.
III. Ce qu'on faisait en même temps
En même temps, on travaillait pour un cirque, on lui faisait sa musique. Et de fil en aiguille on a fait la musique d'autres gens dans d'autres cirques, et finalement, d'autres gens même sans cirque. En même temps, on travaillait dans la rue, on jouait sur des places, on jouait en marchant, on jouait pour des balcons.
IV. Ceux qui étaient avec nous
Il y avait avec nous un grand, avec les cheveux blonds, qui s'appelait Mathieu et qui faisait de la percussion à bretelle. Son copain Lucas jouait de l'accordéon et son frère Adrien, du tuba. Ils venaient de Calabre. La mandoline, Stéphane, était de Faverges-de-la-Tour, et ce gars-là jouait aussi de la guitare. il y avait un fameux joueur de bugle nommé Gilles et un saxophoniste qui s'appelait Julien.
Ils s'étaient dit que s'ils ne trouvaient pas assez de bals et de mariages où se faire inviter, ils en fabriqueraient à partir des places, des bars et des voisines.
Contact
Adrien Spirli 04 72 98 85 15
Mathieu Ogier 06 15 713 712
Les Hauts de Pluvis 01300 IZIEU
[mazalda@voilà.fr->mazalda@voilà.fr]